
Ce jour-là, paupières closes, j’écoutais la mer
Ce jour-là, ma mère m’a dit : « sans courage on n’est rien. Il faut parfois arrêter de vouloir essuyer les blessures du monde, pour commencer à vire sa propre vie. »
Ce jour-là, ma mère m’a dit : « sans courage on n’est rien. Il faut parfois arrêter de vouloir essuyer les blessures du monde, pour commencer à vire sa propre vie. »
J’ai pu être introduite à l’orphelinat de Jerada, ancienne ville minière, qui s’étend sur des kilomètres dans les montagnes et qui connaît des vagues de froid sibérien en hiver et devient une véritable fournaise en été.